samedi 28 mars 2015

Les livres que je veux dévorer ce mois-ci !


Le Chef-d’œuvre inconnu, Balzac
Pas un mois sans Balzac, d’autant plus, pas MOI sans Balzac, c’est bien connu, brève nouvelle, très courte, qui apporte une réflexion sur l’art.
Du Néant de la Vie, Schopenhauer
De la philosophie sur l’existence, digne de Schopenhauer et comme le dit la quatrième de couverture « Arthur Schopenhauer dont la philosophie est en grande partie un effort pour sortir de l’idéalisme, s’interroge sur ce primat de la Volonté, ce régime d’instincts, de pulsions et de désirs aveugles, qui nous pousse, malgré tout, à vouloir vivre. » La philosophie de Schopenhauer, fait un bien fou et transmet malgré son pessimisme, un espoir.
Dans le café de la jeunesse perdue, Patrick Modiano.
Lu masse de critique sur cet œuvre de Modiano, une m’a particulièrement donné l’envie de la lire, en effet la critique de « Songes-Littéraires », définissant le roman comme « hymne à la mélancolie » m’a retenu, c’est pourquoi je l’ai acheté.
Lien de la critique Babelio :
Lien de la critique son blog :

L’origine de l’homme de Christine Montalbetti.
Un roman oublié, il se dit sur la quatrième de couverture retracer « librement deux saisons de la vie de Jacques Boucher de Crèvecoeur de Perthes, l’un des fondateurs de la paléontologie. »
Très attirée par le titre de ce roman, il me semble l’avoir acheté il y a plus d’un an, pour ne pas mettre fin à mon attirance, je pense qu’il vaut mieux que je le lise rapidement.
Le diable de Léon Tolstoï
« Tableau diabolique de la sensualité », voilà la seule et bonne raison.
Maman, pas l’hôpital ! De Jeanne-Marie Préfaut.
En ayant lu des critiques sur ce récit, il me semble être un récit absolument poignant et douloureux, une mère va mettre fin aux souffrances de son enfant autiste, une mère « avec un courage à la mesure de l’intolérable »
Mérimée, Carmen.
J'ai été très attirée par l'extrait de la quatrième de couverture, relevant surement d'une femme fatale et irrésistible, description picturale qui transmet une intensité à cette nouvelle très appréciée.
La Confusion des sentiments de Stefan Zweig.
Cet œuvre aborde en 1927, un sujet nouveau et audacieux, ce qui lui fait connaitre un succès fulgurant, de ce fait, l’envie m’est venu de lire ce « récit bref et profond, comme le dit la quatrième de couverture.
La conversation, de Jean d’Ormesson
La conversation est une conversation imaginée entre Bonaparte et Jean-Jacques Régis de Cambacérès, son deuxième consul, se déroulant un soir d’hiver de 1803-1804, aux Tuilerie, passionnée par l’histoire révolutionnaire, et admiratrice de Napoléon Bonaparte, j’avoue avoir été très attirée par cette œuvre, écrite par le grand Jean d’Ormesson, relevant toute l’ambition d’un homme. 










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