Auteur : George Sand
Éditeur : SDP Le Livre Club
Prix : Acheté 3.00€, prix non officiel.
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Publié en 1846,
La Mare au diable est l’un des romans les
plus appréciés de George Sand, contenant des caractéristiques du Romantisme de
son époque, mêlant ainsi réalisme et idéalisme, nous avons aussi de nombreuses
descriptions picturales, comme celle de La Mare ce qui nous plonge réellement
et entièrement dans ce récit.
Le roman apporte une véritable morale au sujet de
la relation humaine, chez les paysans.
Nous retrouvons bien entendu, la George
Sand désirante d’une seule classe sociale, défendant le droit des femmes, les
ouvriers, les paysans…On retrouvera donc dans ce roman l’opposition de George
Sand face aux stéréotypes de l’Age concernant l’amour au XIXème siècle.
Un roman construit de dix-sept très courts paragraphes, en
ajoutant les quatre autres qui feront l’appendice, qui sont : Les noces de campagne, Les livrées, Le
mariage et Le chou, donc la suite de « l’histoire » de Germain, et
la Petite Marie.
C’est donc un roman très simple à lire, et très rapide. Lors
de ces vingt-et-un paragraphes nous allons suivre l’histoire de Germain, un
homme de 28 ans, devenu chétif et souffrant après la mort de sa femme
Catherine, un homme et père au grand cœur, père de trois enfants et dans le
contexte, laboureur. Cet homme-là approchant de la trentaine (comme on le dit
de nos jours) va se voir imposer par son beau-père, Le père Maurice, père de sa
femme décédée, de se trouver une nouvelle femme, là apparaît une énonciation de
critère afin de trouver la femme qui correspondrait aux attentes du Père
Maurice, soit : pas trop vieille, pas trop jeune, pas trop laide, pas trop
belle…
De cette façon, le père Maurice va imposer à Germain de se
rendre à Fourche, une région voisine, pour aller à la rencontre de la veuve
Guérin, il se verra devoir conduire la petite Marie, jeune fille de seize ans, sans-le-sou,
très courageuse et forte, aux Ormeaux, lieu où elle se devra rester une année
afin de gagner de l’argent. Cependant le voyage se montrera difficile, le petit
Pierre apparait, voulant suivre son père, c’est donc à trois qu’ils
continueront le chemin, dans la nuit, Germain se perdit, et c’est delà que par
les conversations qu’il entreprendra avec Marie, qu’il tombera amoureux de
cette jeune fille, si pure et belle.
Le lendemain ils atteignirent leurs
destinations, ils se séparèrent, la petite Marie et le petit Pierre iront aux
Ormeaux, où Marie s’échappera en courant avec Pierre, car le fermier l’a maltraité,
et Germain se verra déçu et dégouté de la veuve, amoureux de Marie, il la
trouva laide.
Lors de leur retour, Marie et Germain se séparèrent, pendant
de nombreux mois ils ne se diront rien, mais voyant Germain triste et fade, la
mère Maurice s’inquiéta, c’est ici que Germain, va dévoiler son amour, dit improbable,
pour Marie, quelques jours après il se rendra chez Marie, pour lui avouer qu’il
l’aime plus que tout, et Marie, lui avoua elle aussi qu’elle l’aimait.
Bon, c’est bel et bien un roman d’amour, mais visant quand
même une recherche sur un problème de société qui se veut néfaste à l’amour,
bien qu’aujourd’hui le problème n’ai lieu, dans nos campagnes, tout est parfois
bon à être critiquer.
George Sand. |
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