samedi 18 avril 2015

Cinématographiquement parlant : La Voleuse de livres, un film réalisé par Brian Percival

J'aimerais aujourd’hui vous parlez de films... Il est vrai que ma plus grande occupation est la littérature, cependant j'avoue avoir un réel amour pour les grands films de Guerre, d'Histoire ...
Après une longue hésitation j'ai donc décidé d'introduire une rubrique cinématographique sur mon blog, c'est donc avec grand plaisir qu'aujourd'hui je viens vous parler d'un de mes films préférés ...

 

  La Voleuse de livres, un film réalisé par Brian Percival

D'après le roman de Markus Zusak, écrit en 2005, roman que je n'ai pas lu, ayant été sous le charme du film, il s'agit donc d'une adaptation cinématographique de genre dramatique et historique sorti en 2013, ayant pour scénariste Michael Petroni.
Le film, du moins, l'histoire se déroule pendant la Seconde Guerre Mondiale, en Allemagne, dans une petite ville où le nazisme et la propagande nazisme règnent, il témoigne bien du culte de la personnalité exercé envers Adolf Hitler, chant nazi dans les écoles, drapeaux... Le film est pendant toute sa durée accompagnée d'une narration qui représente LA MORT, jouée par Roger Allam, nous allons donc suivre Liesel Meminger (Sophie Nélisse), adoptée par Hans Hubermann et Rosa Hubermann.
Dans sa nouvelle ville, Liesel fera la rencontre de Rudy Steiner, qui tombera amoureux d'elle, Liesel, elle, le considéra comme son meilleur ami, la vie de Liesel changera quand Max, viendra se cacher chez elle, car il est Juif. Max lui apprendra l'importance des mots et leur pouvoir... Liesel et Max entretiendront une relation très émouvante, pleine de complicité... 
Mais Max, devra s’enfuir, pour cause, les visites..
La mort atteindra la rue du Paradis, l'entourage de Liesel  mourra entièrement, elle se retrouvera seule.
Mais des années plus tard elle retrouvera Max, et c'est ainsi que s'achève le film.


 Un film d'une grande capacité émotionnelle, outre les petites incohérences parfois..
Sophie Nélisse joue parfaitement bien, j'avoue être tombée sous le charme de Max ( Ben Schnetzer) qui accorde réellement aux mots une si forte intention, le père de Liesel, Hans Hubermann (Geoffrey Rush) est un homme admirable auquel on s'attache réellement...
C'est donc un très beau film qui relève réellement du pouvoir nazi lors de la Seconde Guerre Mondiale, et par conséquent de la cruauté de la Seconde Guerre Mondiale.





2 commentaires:

  1. Ce film m’a bouleversé. J’ai tellement aimé le père de Liesel. Je ne me souviens plus de son nom mais le personnage de cette femme chez qui Liesel va lire, m’a touchée. L’amour qu’elle ressent pour son fils à travers ses livres... Je pense que je le lirais.

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    1. Oui, Hans Hubermann, le père de Liesel est vraiment un homme de paix, je suis restée admirante de son calme et de sa tendresse envers Liesel. Un passage du film est très émouvant quand la mère rêve de son fils à travers Liesel, ce fut très beau et très sincère par la façon dont les acteurs jouent merveilleusement bien.

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